le premier novembre…
1 novembre 2013 par jf le scour | 1 Commentaire
après du bon « couchamp »
comment dire… je prends du retard, je m’occupe de « jacquot »
celui qui va venir sur mon épaule, bientôt
qui sait quand je vais remettre le 842, heu, c’est bien le bon numéro
vous m’embrouillez à chaque fois avec vos additions
retard, y-a que moi que ça gêne, hein
c’est vrai
moâ, je suis comme ça, madame mich(o)u
j’aime les « à-faire » rondement ménée
et là, ça rame
je me suis laissé happer
I. − Emploi trans.
A. − [Le suj. désigne un animal] Attraper brusquement quelque chose d’un coup de mâchoires, de bec. Les chevaines, bondissant pour happer les insectes du soir, faisaient à la surface de grands cercles (Moselly, Terres lorr.,1907, p. 232).À Fiume, une femme élégante, ayant dépassé la limite des cordages, était happée par un avide requin (L. Daudet, Médée,1935, p. 103) :
1. Près de la table, sur sa queue en panache, était assis Mélac, un petit chien-loup (…). Tantôt l’un, tantôt l’autre, lui jetait une bouchée de pain ou une queue de poisson, qu’il happait au vol. Erckm.-Chatr., Ami Fritz,1864, p. 156.
puis l’arrivée impromptue du futur « jacquot » sur les conseils de franck mouget
oui, celui du bateau…d’ailleurs, voilà de quoi
qui rend la réalité…
n’est-ce pas le supposé rôle de la vidéo de rendre
avoir de quoi rendre sur l’épaule
rendre subjectivement
rendre la réalité moins… encore que plus des fois serait mieux
bon, on fera rendre selon, hein !
—
quelle bonne* époque !
jf le scour, 2013
*je sais, je sais, je revendique